Pierre Halter : C’est une qualité énergétique dû à l’échange des informations cosmiques et telluriques. Et celle-ci se manifeste notamment comme une structuration énergétique que l’on appellera les réseaux.
Ces réseaux énergétiques sont des lignes de forces. Ils qui sont relativement connus et ont le nom des personnes qui les ont mis en évidence soit monsieur Hartmann et Monsieur Curry . Ces structurations énergétiques forment des lignes de forces qui se répartissent tous les 2 à 2,5 mètres sous une forme de quadrillage dans les directions cardinales: nord-sud et est-ouest. Le réseau Curry est un réseau diagonal par rapport au point cardinal soit à 45 degrés du réseau Hartmann. Il est moins régulier, selon les régions et le magnétisme terrestres.
Ici, en Suisse, on l’observe tous les 8 à 12 mètres. Dans certaine région d’Allemagne et d’Autriche, on le retrouve beaucoup plus serré. Ces deux réseaux sont porteurs d’informations et en tant que structuration énergétique. Suivant leur rythme, leurs qualités, ils véhiculent et fournissent un grand nombre d’informations.
Si on reprend le réseau principal soit le réseau Hartmann qui est distancé de 2 mètre à 2mètre 50, on étudiera sa présence sur un terrain grâce à une analyse sensorielle. En circulant à la perpendiculaire du réseau et en en le traversant comme des « espèces de murs », on peut identifier et dresser une cartographie du réseau sur un lieu. Cela permet de dresser un diagnostique et si on s’aperçoit par exemple qu’on retrouve le réseau, non pas tous les deux mètres mais tous les 50 centimètres, cela signifiera que le réseau est éclaté et complètement déstructuré. C’est l’expression d’un déséquilibre du milieu vital et donc d’un déséquilibre. Le comportement du réseau global nous informe très rapidement de la qualité d’un lieu et de son équilibre.
De même on trouvera parfois des réseau diagonaux se diviser, et les observer à intervalles de cinquante centimètres ou tous les mètres ce qui exprimera également l’expression d’une déstructuration mais qui proviendra de phénomène différents que ceux du réseaux global. Ces perturbations permettent de chercher la ou les causes.
NF : Et que faire si on identifie un tel déséquilibre, déménager ?
P.H. : Non, il faut identifier la ou les cause provoquant ce déséquilibre. Il est intéressant d’apprendre qu’un lieu est perturbé mais il est bien plus importants d’en trouver et modifier la cause. Puis de rendre si possible le lieu à nouveau équilibré !
NF : On dit que le réseau s’est resserré avec les années, est-ce vrai ?
P.H. : Dans les années 1920, le Dr Peyré, médecin français, a repéré un réseau qui se présentait tous les 8 à 10 mètres. Il est possible qu’avec le développement des installations électriques et radio, le réseau ou des harmoniques de ce réseau repéré en 1920, se soient activés pour aboutir au réseau mis en évidence par le Dr Hartmann vers 1950. Mais depuis cette époque, il a toujours le même rythme, d’environ 2m sur 2m50, excepté dans les lieux fortement perturbés où il est perçu éclaté avec un rythme d’environ 50 cm. Personnellement je constate que depuis que je pratique la géobiologie, soit depuis plus de 20 ans le réseau ne s’est pas modifié ni resserré. Il s’est peut-être modifié dans sa qualité et on trouve effectivement beaucoup plus d’endroits perturbés où le réseau est éclaté.
NF : Peut-on dire que certains endroits plus isolés ont un réseau de meilleure qualité ?
P.H. : Il est certain, et c’est avec cette notion que je travaille, que le réseau est un excellent indicateur de la qualité du lieu. Dans certains lieux présentant une très grande qualité énergétique, le réseau devient très calme, si l’on peut encore le percevoir.
